Développement et commercialisation

Les clubs membres de la FQCQ offrent plus de 30 000 km de sentiers dont 13 000 km accessibles en hiver seulement, 19 000 km accessibles l’été.

Les aspects recherchés par les adeptes du quad sont:

• Des sentiers bien aménagés
• Une signalisation adéquate
• Des paysages agréables

Le Québec a la particularité d’être soumis à des variations de températures. Il est aussi fait de vastes espaces naturels. Il faut en tenir compte dans la création et l’entretien de sentiers. Cela nécessite de compter sur une organisation sur le terrain formée de clubs locaux regroupés au sein d’un organisme provincial fort et représentatif.

Les dépenses directes associées à la pratique de l’activité Quad dans l’ensemble du Québec sont évaluées à environ 1.5M$. Ces dépenses sont effectuées surtout dans des régions où l’économie est moins diversifiée.

Bâtir la FQCQ du vingt-et-unième siècle

La Fédération Québécoise des Clubs Quads a vu le jour en 1985. Le vingt-et-unième siècle a déjà vingt ans et la FQCQ trente-cinq ans. Il est temps de penser à l’avenir car le monde change. Les nouvelles générations et les nouvelles technologies arrivent : il faut leur donner de la place. Il faut retrouver du sang neuf pour entretenir les sentiers, convaincre pour conserver la place de la FQCQ dans la société, négocier pour se faire entendre des ministères, réunir pour être reconnu, renforcer la fierté et le sentiment d’appartenance aux clubs de la fédération. Pourquoi ? Parce que rien n’est acquis, parce que la FQCQ, c’est nous tous.

Que de chemin parcouru en plus de 35 ans ! PLUS DE 100 clubs de quadistes se sont créés, regroupant presque 60 000 membres et plus de 3 000 bénévoles. La FQCQ a aussi obtenu une contribution perçue à même l’immatriculation pour financer une partie de l’activité. C’est un sentiment de fierté pour tous ceux qui ont participé à cet effort. Ils sont nombreux et ils se reconnaîtront.

Le modèle québécois que nous envient bien des pays, est basé sur trois piliers :

• Un financement du gouvernement, car nous encadrons la pratique sécuritaire et nous favorisons le tourisme.
• Un financement des membres des clubs par l’achat d’un droit d’accès.
• Un travail bénévole de certains membres qui permettent d’économiser sur la masse salariale. Sans bénévoles, le droit d’accès coûterait trois fois plus cher.

Les défis à relever :

• La relève des bénévoles
• L’entretien des sentiers 
• La machinerie 
• La négociation des droits de passage 
• La stabilisation du réseau en terre publique 
• Les infrastructures 
• Le financement équitable pour les clubs 
• La professionnalisation des tâches 
• Le respect des règles en sentiers 
• Les relations interministérielles 
• L’acceptabilité sociale 
• L’harmonie entre les clubs 
• La gestion des réseaux sociaux 

BÂTIR LA FQCQ DU 21e SIÈCLE